J’ai cru que j’aimais l’autre
quand j’avais si peur de le perdre.
J’ai cru que j’aimais l’autre
quand je contrôlais sa liberté d’être.

Sa présence était vitale pour ma survie,
car la réalité crue me terrifiait.

Quand j’ai trouvé un socle intérieur,
quand j’ai vu l’illusion de l’autre en moi,
que restait-il, alors, de cet amour ?

Pas une indifférence.
Pas un rejet.
Une vibration.

Categories: Passages

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