Franchir les limites pour me consumer, je l’ai fait.
Vous aussi.
J’ai longtemps cru que c’était la seule façon de me sentir vivante.
Comme un feu qui s’embrase au-dedans.
C’est bon de brûler son âme,
l’énergie pure du vivant.
Le bien-être ? Fadasse.
Je ne l’ai peut-être pas trouvé
dans les méandres du système.
Je ne le voulais peut-être pas.
Ou peut-être qu’il n’existe pas.
Mais quand la joie m’habite,
l’émerveillement nu, sans cause,
alors je me souviens d’où je viens.
Pas d’une matrice,
mais d’un infini plein et vide à la fois.
L’énergie des quatre éléments qui m’habitent.
La puissance du vivant.
0 Comments